Voilà cela doit faire deux ans que je ne suis pas venue écrire un petit quelque chose sur le blog.
Non pas, que je l'ai oublié, mais je n'avais pas grand chose à mettre dessus.
Aujourd'hui, je n'ai rien a ajouté de particulier. Mais je suis en plein brainstorming, et j'espère qu'il en sortira quelque chose de beau et de bon pour le blog et pour ma vie en générale.
J'ai choisi plus ou moins consciemment un petit air de St Valentin sans y avoir l'air.
J'ai trouvé que le texte (tampon d'Artémio " Le Port" de Baudelaire) se prêtait bien en arrière plan.
Quand aux deux petits oiseaux, il représentait assez bien mon couple ; avec Mr qui écoute Mme chanter !! Quand aux coquelicots, ils se sont imposés d'eux-même.
Oh ! une carte, la 1ère de 2021, c'est pas croyable
Voici donc ma participation dans les temps pour le "Challenge 240" de CarteManiak
Pour les explications : j'ai découpé 2 montagnes dans un sens et dans l'autre pour créer le reflet dans l'eau. C'est beau, non ! On s'y croirait presque ...
Après cette si longue absence, me revoici avec une carte sur l'être ensemble, celui de passer un moment et prendre une boisson chaude en papotant. J'espère que ce simple geste, cette petite attention, va pouvoir revenir rapidement dans nos habitudes, car elle me manque.
En attendant, je vous l'offre en carte, avec toute mon amitié,
Voici venu le temps de la dernière douceur des soirées, car même si j'ai pris la décision d'aller jusqu'au 25 du calendrier, nous y sommes.
Depuis le début de ce calendrier, on a vu le sapin, la couronne, les décos, les lumières, les lanternes, le carrousel, le feu d'artifice, le bonhomme de neige, les fleurs de Noël, la boule à Neige, les chants de Noël, les maisons de Noël, les pommes de pin, le champagne, les vœux d'amour, et bien sur les vœux sous différentes formes ...
Il ne manque pas quelqu'un ? non .. réfléchissez bien ...
Le plus emblématique de cette période et surement le plus attendu en ce jour ...
Bon là, il observe vos sourires, il écoute vos rires, qui traversent les maisons. Il a bien le droit de se reposer après cette nuit au combien particulière. Profitez bien !!!
Et chez vous le père noël il passe plutôt le 24 au soir ou le 25 au matin ?
Question subsidiaire : Combien de Rennes le Père Noël a besoin pour tirer son traineau et bien entendu leur petit nom. Vous séchez ... et bien la réponse dans ce dernier le saviez-vous !!
Un petit le saviez-vous : Le Père Noël et ses Rennes
Le père Noël
tel qu'il est communément représenté (comme ci-contre, à droite) ne se réduit
pas à la fonction « pédagogique » qui dominerait son usage actuel. Il
peut être vu comme une construction syncrétiste relativement moderne
mais ayant de lointaines origines : si Nicolas de Myre est traditionnellement
considéré comme le saint à l'origine du père Noël, ce personnage cosmopolite
est le fruit d'un mélange entre plusieurs traditions, contes, légendes et
folklores. La sociologue Martyne Perrot résume ce
syncrétisme : « l'idée que le père Noël est
américain est partiellement vraie car la construction de ce personnage est en
fait liée à l'histoire des migrants newyorkais ; c'est un personnage
migrant, qui a pris un peu de tous les pays où il est passé et il est riche
d'emprunts culturels divers. »
Noël renvoie
au jour de la Nativité, c'est-à-dire au jour de la naissance de Jésus :
le père Noël est donc avant tout rattaché à une fête chrétienne.
Pendant
longtemps, on fêta la Nativité et l'Épiphanie — fixée au — le même jour. Au ive siècle,
sous le règne de l'empereur Constantin, la toute première célébration chrétienne de
Noël a lieu à Rome à la date du
Jusqu'au tournant du xxe siècle, le père Noël n'a que huit Rennes (Tornade,
Danseur, Furie, Fringant, Comète, Cupidon, Éclair et Tonnerre). Le neuvième,
nommé Rudolph (Rodolphe en français), fut créé en 1939 par le poète Robert
L. May dans un conte où le père Noël doit affronter des conditions
météorologiques si mauvaises qu'il risque d'être en retard dans sa livraison de
cadeaux. Dans cette histoire, il réussit à les distribuer grâce au nez lumineux
de Rudolph qui l'orientait dans la tempête.
Et dans les différents posts réalisés au cours de ce mois de décembre, car chacun contenait divers informations complémentaires et plus ou moins digeste !!!
Et voilà c'est fini ... Snif Snif
Mais surveillez de temps en temps, car d'ici la fin du mois il pourrait y avoir encore quelques petites choses qui seront postées, car il me reste 2 ou 3 choses sur le côté du bureau que je n'ai pas eu le temps de finir au moment des publications ...
Il s'agit de 2 présentations avec les mêmes éléments.
Vers laquelle penche votre cœur ?
Un petit le saviez-vous : Le Sapin de Noël
Entre 2000 et
1200 avant JC, on parlait déjà d’un arbre (L’épicéa, arbre de l’enfantement),
le jour du 24 décembre, puisqu’on considérait ce jour comme la renaissance du
soleil. Les celtes avaient adopté un calendrier basé sur les cycles lunaires. A
chaque mois lunaire était associé un arbre, l’épicéa fut celui du 24 décembre.
Pour le rite païen du solstice d’hiver, un arbre symbole de vie était décoré
avec des fruits, des fleurs et du blé.
En 354,
l’Eglise institue la célébration de la naissance du Christ, le 25 décembre,
pour rivaliser avec cette fête païenne. Initialement la célébration de Noël se
résumait à la messe de la nativité.
On raconte qu’un moine évangélisateur Allemand de la fin du VIIe siècle, Saint
Boniface (né en 680), voulait convaincre les druides germains, des environs de
Geismar, que le chêne n’était pas un arbre sacré. Il en fit donc abattre un.
« En tombant, l’arbre écrasa tout ce qui se trouvait sur son passage à
l’exception d’un jeune sapin ».
A partir de là, la légende fait son œuvre. Elle raconte que Saint Boniface a
qualifié ce pur hasard de miracle, et déclaré dans sa même prédication :
« Désormais, nous appellerons cet arbre, l’arbre de l’Enfant Jésus. »
Depuis, on plante en Allemagne de jeunes sapins pour célébrer la naissance du
Christ.
Au XIème
siècle, l’arbre de noël, garni de pommes rouges, symbolisait l’arbre du
paradis. C’est au XIIème siècle que la tradition du sapin est apparue en
Europe, plus précisément en Alsace.
On le
mentionne pour la première fois comme « arbre de noël » en Alsace
vers 1521. Au XIVème siècle, les décorations étaient composées de pommes, de
confiseries et de petits gâteaux. A cette même époque, l’étoile au sommet de
l’arbre, symbole de l’étoile de Bethleem commença à se répandre. Ce sont les
protestants en 1560 qui développèrent la tradition du sapin de noël pour se démarquer
des catholiques.
Au XVIIème et
XVIIIème siècle apparaissent les premiers sapins illuminés. On utilisait des
coquilles de noix remplies d’huile à la surface desquelles des mèches
flottaient ou des chandelles souples nouées autour des branches.
C’est en 1738
que Marie Leszczynska, épouse de Louis XV, roi de France, aurait installé un
sapin de noël dans le château de Versailles.
On trouva par la suite de plus en plus d’arbres de Noël particulièrement en
Alsace-Lorraine, où existait déjà la tradition du sapin.
En 1837, la
duchesse d’Orléans Hélène de Mecklembourg, d’origine Allemande, fit décorer un
sapin aux Tuileries.
Cette tradition se généralisa après la guerre de 1870 dans tout le pays grâce
aux immigrés d’Alsace-Lorraine qui firent largement connaître la tradition de
l’arbre de Noël aux Français.
C’est à cette période que le pays entier adopta cette tradition.
Après-guerre, les travailleurs veulent être associés à la vie de leur
établissement. Les comités d’entreprise voient alors le jour et parmi les traditions
très vite mises en place, figure le fameux Arbre de Noël du comité
d’entreprise. L’espace d’un après-midi, les enfants des salariés sont conviés à
un spectacle suivi d’un gouter, avec souvent une remise de cadeaux, sans
oublier le grand sapin de Noël décoré et installé pour l’occasion.