Voici venu le temps de la dernière douceur des soirées, car même si j'ai pris la décision d'aller jusqu'au 25 du calendrier, nous y sommes.
Depuis le début de ce calendrier, on a vu le sapin, la couronne, les décos, les lumières, les lanternes, le carrousel, le feu d'artifice, le bonhomme de neige, les fleurs de Noël, la boule à Neige, les chants de Noël, les maisons de Noël, les pommes de pin, le champagne, les vœux d'amour, et bien sur les vœux sous différentes formes ...
Il ne manque pas quelqu'un ? non .. réfléchissez bien ...
Le plus emblématique de cette période et surement le plus attendu en ce jour ...
Bon là, il observe vos sourires, il écoute vos rires, qui traversent les maisons. Il a bien le droit de se reposer après cette nuit au combien particulière. Profitez bien !!!
Et chez vous le père noël il passe plutôt le 24 au soir ou le 25 au matin ?
Question subsidiaire : Combien de Rennes le Père Noël a besoin pour tirer son traineau et bien entendu leur petit nom. Vous séchez ... et bien la réponse dans ce dernier le saviez-vous !!
Un petit le saviez-vous : Le Père Noël et ses Rennes
Le père Noël
tel qu'il est communément représenté (comme ci-contre, à droite) ne se réduit
pas à la fonction « pédagogique » qui dominerait son usage actuel. Il
peut être vu comme une construction syncrétiste relativement moderne
mais ayant de lointaines origines : si Nicolas de Myre est traditionnellement
considéré comme le saint à l'origine du père Noël, ce personnage cosmopolite
est le fruit d'un mélange entre plusieurs traditions, contes, légendes et
folklores. La sociologue Martyne Perrot résume ce
syncrétisme : « l'idée que le père Noël est
américain est partiellement vraie car la construction de ce personnage est en
fait liée à l'histoire des migrants newyorkais ; c'est un personnage
migrant, qui a pris un peu de tous les pays où il est passé et il est riche
d'emprunts culturels divers. »
Noël renvoie
au jour de la Nativité, c'est-à-dire au jour de la naissance de Jésus :
le père Noël est donc avant tout rattaché à une fête chrétienne.
Pendant
longtemps, on fêta la Nativité et l'Épiphanie — fixée au — le même jour. Au ive siècle,
sous le règne de l'empereur Constantin, la toute première célébration chrétienne de
Noël a lieu à Rome à la date du
Jusqu'au tournant du xxe siècle, le père Noël n'a que huit Rennes (Tornade,
Danseur, Furie, Fringant, Comète, Cupidon, Éclair et Tonnerre). Le neuvième,
nommé Rudolph (Rodolphe en français), fut créé en 1939 par le poète Robert
L. May dans un conte où le père Noël doit affronter des conditions
météorologiques si mauvaises qu'il risque d'être en retard dans sa livraison de
cadeaux. Dans cette histoire, il réussit à les distribuer grâce au nez lumineux
de Rudolph qui l'orientait dans la tempête.
Et dans les différents posts réalisés au cours de ce mois de décembre, car chacun contenait divers informations complémentaires et plus ou moins digeste !!!
Et voilà c'est fini ... Snif Snif
Mais surveillez de temps en temps, car d'ici la fin du mois il pourrait y avoir encore quelques petites choses qui seront postées, car il me reste 2 ou 3 choses sur le côté du bureau que je n'ai pas eu le temps de finir au moment des publications ...
Il s'agit de 2 présentations avec les mêmes éléments.
Vers laquelle penche votre cœur ?
Un petit le saviez-vous : Le Sapin de Noël
Entre 2000 et
1200 avant JC, on parlait déjà d’un arbre (L’épicéa, arbre de l’enfantement),
le jour du 24 décembre, puisqu’on considérait ce jour comme la renaissance du
soleil. Les celtes avaient adopté un calendrier basé sur les cycles lunaires. A
chaque mois lunaire était associé un arbre, l’épicéa fut celui du 24 décembre.
Pour le rite païen du solstice d’hiver, un arbre symbole de vie était décoré
avec des fruits, des fleurs et du blé.
En 354,
l’Eglise institue la célébration de la naissance du Christ, le 25 décembre,
pour rivaliser avec cette fête païenne. Initialement la célébration de Noël se
résumait à la messe de la nativité.
On raconte qu’un moine évangélisateur Allemand de la fin du VIIe siècle, Saint
Boniface (né en 680), voulait convaincre les druides germains, des environs de
Geismar, que le chêne n’était pas un arbre sacré. Il en fit donc abattre un.
« En tombant, l’arbre écrasa tout ce qui se trouvait sur son passage à
l’exception d’un jeune sapin ».
A partir de là, la légende fait son œuvre. Elle raconte que Saint Boniface a
qualifié ce pur hasard de miracle, et déclaré dans sa même prédication :
« Désormais, nous appellerons cet arbre, l’arbre de l’Enfant Jésus. »
Depuis, on plante en Allemagne de jeunes sapins pour célébrer la naissance du
Christ.
Au XIème
siècle, l’arbre de noël, garni de pommes rouges, symbolisait l’arbre du
paradis. C’est au XIIème siècle que la tradition du sapin est apparue en
Europe, plus précisément en Alsace.
On le
mentionne pour la première fois comme « arbre de noël » en Alsace
vers 1521. Au XIVème siècle, les décorations étaient composées de pommes, de
confiseries et de petits gâteaux. A cette même époque, l’étoile au sommet de
l’arbre, symbole de l’étoile de Bethleem commença à se répandre. Ce sont les
protestants en 1560 qui développèrent la tradition du sapin de noël pour se démarquer
des catholiques.
Au XVIIème et
XVIIIème siècle apparaissent les premiers sapins illuminés. On utilisait des
coquilles de noix remplies d’huile à la surface desquelles des mèches
flottaient ou des chandelles souples nouées autour des branches.
C’est en 1738
que Marie Leszczynska, épouse de Louis XV, roi de France, aurait installé un
sapin de noël dans le château de Versailles.
On trouva par la suite de plus en plus d’arbres de Noël particulièrement en
Alsace-Lorraine, où existait déjà la tradition du sapin.
En 1837, la
duchesse d’Orléans Hélène de Mecklembourg, d’origine Allemande, fit décorer un
sapin aux Tuileries.
Cette tradition se généralisa après la guerre de 1870 dans tout le pays grâce
aux immigrés d’Alsace-Lorraine qui firent largement connaître la tradition de
l’arbre de Noël aux Français.
C’est à cette période que le pays entier adopta cette tradition.
Après-guerre, les travailleurs veulent être associés à la vie de leur
établissement. Les comités d’entreprise voient alors le jour et parmi les traditions
très vite mises en place, figure le fameux Arbre de Noël du comité
d’entreprise. L’espace d’un après-midi, les enfants des salariés sont conviés à
un spectacle suivi d’un gouter, avec souvent une remise de cadeaux, sans
oublier le grand sapin de Noël décoré et installé pour l’occasion.
Il s'agit d'un seul décor ; une grille, mais présentées de 2 façons différentes : une ouverte et l'autre fermée
Sur cette carte, on peu voir la couronne de Noël et le petit ruban, mais que se cache t-il derrière ?
Sur cette carte, on passe la grille ouverte et on peu voir la scène qui s'y cache, un joli jardin décoré !
Etes-vous curieux à pousser les grilles pour voir ce qui se cache derrière ?
Un petit le saviez-vous : La couronne de Noël
Des origines païennes
à une fête traditionnelle :
L'origine de la couronne de l'Avent, appelée
aujourd'hui couronne de Noël, apparaît au temps des Romains avant d'envahir les
pays germaniques et scandinaves. Pour retourner aux sources de cette tradition,
il faut revenir au temps où l'on célébrait le solstice d'hiver.
Cette coutume visait à marquer l'espoir de la
renaissance du soleil. Il s'agissait du Triomphe de la Lumière sur les Ténèbres,
une célébration de la Vie.
Pour représenter cette renaissance, les Romains
décoraient leurs maisons de feuillages et branchages de couleur verts incarnant
l'espoir et la vie. Puis, afin de symboliser le renouvellement perpétuel de ce
cycle de la vie, le peuple germanique tressait des roues de feuillages.
Ces roues, ou couronnes, étaient ensuite offertes en
cadeau que l'on devait accrocher si elles nous étaient destinées. En apportant
cette dernière aux hôtes, ils leur présentaient des vœux de bonne santé.
A la suite de cela, les Chrétiens se sont inspirés de
cette fête païenne pour les traditions de l'Avent. Ainsi, la roue devient une
couronne durant le 16ème siècle, la couronne de l'Avent.
Les croyants suspendaient cette dernière au plafond,
ou la posaient sur une table, et ornaient cette dernière de quatre bougies
marquant les quatre semaines de l'Avent. La tradition était d'allumer une
bougie de plus chaque semaine.
La popularisation de Noël et de sa couronne a enrichi
cette fête d'une toute nouvelle signification : celle de l'hospitalité.
Suspendue à la porte, elle diffuse la promesse d'un accueil chaleureux à ceux
qui entreraient dans la maison, toujours dans l'esprit et dans la convivialité
de Noël.
Il s'agit d'une carte aménagée, c'est à dire que je l'ai coupée et non pliée sous le rond. A l'origine la carte est en accordéon, soit 3 volets, lorsqu'elle est dépliée.
Je vous parle d'un temps que les moins de ... ans ne peuvent pas connaître La La La
Un bonhomme de neige ! Sérieusement, à priori on pouvait en faire un à New York récemment, mais dans l'hexagone, pas beaucoup d'endroits pour en réalisé un pour Noël.
Le saviez-vous : Le bonhomme de neige
Les premières occurrences écrites attestant
l'existence de bonshommes de neige datent du XVIe siècle (par exemple chez
Shakespeare). Le personnage populaire apparaît ensuite dans un recueil de
comptines en 1770, à Leipzig. Ce n'est qu'au début du XXe siècle que le
bonhomme de neige est associé aux fêtes de fin d'année, et devient une figurine
du sapin de Noël.
Il s'agit d'une carte hivernale, et oui aujourd'hui, c'était le passage à l'hiver
On voit beaucoup les textures et très peu les reflets irisé et métallique, dommage !!
Et vous, vous l'avez trouvez comment cette journée hivernale ?
Le saviez-vous : Noël et l'hiver, une histoire d'amour !
Depuis plus de quinze
siècles, les chrétiens (catholiques et protestants) fêtent Noël le 25 décembre.
Si les célébrations se déroulent à cette date, seulement quelques jours après
le solstice d'hiver, ce n'est pas un hasard.
Chaque année, le 25 décembre, les chrétiens ont coutume de fêter la
naissance de Jésus. Une fête de la nativité, du latin natalis,
devenu nael en vieux-francique et, plus tard, « Noël » en français. Mais ni le jour
ni même l'année exacte de la venue du Christ au monde ne sont connus. Pour
certains, qui s'appuient sur les rares indices laissés dans la Bible, cela se
situerait plutôt au printemps.
Les premiers chrétiens, qui s'intéressaient vraisemblablement moins à la
naissance du messie qu'à sa mort et sa résurrection, ne s'en sont pas
préoccupés dans un premier temps. En réalité, la fête de la Nativité ne fut
instituée le 25 décembre qu'en l'an 354 de notre ère par le pape Liberius.
Mais pourquoi ce dernier choisit-il cette date-là, au tout début de
l'hiver ?
Les
Saturnales, une fête en l'honneur du Soleil
Pour reprendre l'expression de l'historien John Steele Gordon, qui s'est
intéressé à cette question, ce choix aurait été surtout un « coup
marketing » de Liberius. Pourquoi ? Parce qu'après la mort de
Constantin, premier empereur converti de l'Empire romain, la religion
chrétienne, alors en pleine expansion, cherche à s'enraciner profondément. Pour
cela, mieux vaut se fondre dans des traits culturels très populaires comme, au
IVe siècle, les Saturnales (Saturnalia).
Cette grande fête d'origine agricole était en l'honneur de Sol
Invictus (en français, « le Soleil invaincu
»). Elle durait sept jours entiers, du 17 au 24 décembre, c'est-à-dire autour
du solstice
d'hiver. Sept jours d'ivresse, de festins,
où tout le monde s'offrait des cadeaux, sans distinctions sociales, et décorait
sa maison avec des végétaux qui restent verts toute l'année tels le pin,
le chêne vert,
etc.
Le
solstice d'hiver et le retour de la lumière
Dans l'hémisphère nord,
les jours ne cessent de se réduire jusqu'au 21 décembre et la lumière décline.
L'astre solaire
(sol) est blafard et ne chauffe plus beaucoup, il se
lève de plus en plus vers le sud-est (pour se coucher quelques heures plus tard
au sud-ouest). À midi, il est (désespérément) bas sur l'horizon... Les Romains,
mais aussi d'autres cultures, craignaient à cette période sombre de l'année que
le Soleil se meure, disparaisse et ne revienne jamais, laissant derrière lui
ténèbres et désolation. C'est pourquoi le solstice de décembre, du latin solsticium qui veut dire littéralement
« arrêt du Soleil » (statum,
immobile), est un évènement majeur du calendrier.
Le choix du 25 décembre marque --
notamment pour les cultures celtes, germaniques, romaines -- le renouveau, la
renaissance, le retour de la lumière. En effet, après quelques jours
d'immobilité, le point de lever et de coucher du Soleil au-dessus de l'horizon
se décale de nouveau vers le nord. Les jours grandissent et la lumière
revient. Pour les Celtes, comme cela symbolisait la renaissance, des tombeaux
de souverains, comme à Newgrange (vers 3.200 avant J.-C.), en Irlande, étaient
construits de telle manière que l'entrée et la chambre funéraire au cœur de l'édifice
étaient illuminées uniquement ces jours-ci, au lever du
Soleil...
Il s'agit de petites lanternes, elles sont mignonnes, vous ne trouvez pas ?
Un petit le saviez-vous : Les Illuminations de Noël
La toute première guirlande électrique a été mise au point par Edward
Hibberd Johnson, proche de Thomas Edison, en 1882.
Avec la mondialisation des échanges culturels et
la laïcisation de la société, les festivités liées à Noël prennent
progressivement un caractère profane et familial et sont de plus en
plus déconnectées de l'interprétation religieuse. C'est conjointement à
cette modification de la société moderne, apparue dans les années 1960,
que les illuminations de Noël, sous l'impulsion des villes, ont fait leur
apparition. À titre d'exemple, la commune des Herbiers (Vendée)
installe des décorations depuis 1963.
Durant la période communiste, la fête de Noël, célébration chrétienne et
donc religieuse, est tout bonnement bannie par le régime. Interdit en URSS dans
le cadre de la politique antireligieuse d'État, le sapin de Noël est à nouveau
autorisé par Joseph Staline à partir de 1934, mais à condition
d'être dressé désormais pour célébrer le Nouvel An. Le Noël orthodoxe est
de nouveau autorisé en 1991. Après la chute du bloc soviétique, la fête de Noël
se développe à nouveau, donnant lieu à certaines observations insolites.
Initialement apanage des collectivités, les illuminations électriques de
Noël se démocratisent de plus en plus, à tel point que depuis les années
2000, certains particuliers rivalisent avec les décorations municipales.
Si elles sont en général installées suivant les décisions municipales des
services techniques et du conseil municipal, l'installation des décorations
peut aussi être insufflée par les avis des commerçants, qui peuvent demander à
la ville l'installation d'illuminations dans un secteur précis en l'échange
d'une contribution financière.
Par ailleurs, à Paris, depuis de nombreuses années, certaines enseignes
organisent elles-mêmes leur décorations, qui par leur dimension et la création
qui les entoure, ont autant d'impact que les illuminations municipales. C'est
le cas des façades illuminées du Printemps Haussmann, qui chaque année se
voient recouvertes de 127 500 LED, 135 sapins et 1,8 km de
cordes lumineuses.
Des cartes que j'espère porte-bonheur, pour l'année à venir ...
Après l'année particulière que nous venons de vivre, j'aimerai croire en quelque chose d'autre pour l'année à venir, même si cela ne se fera pas au 1er janvier. Peut être, exceptionnellement, pourrait on changer de façon symbolique, le passage de la nouvelle année, à la date de la délivrance et des vraies retrouvailles !! J'ose l'espérer.
Et vous, vous la voyez comment l'année 2021 ?
Un petit le Saviez-vous : Les portes bonheur
Une étude montre que ceux qui possèdent
un porte-bonheur ont plus de chance que les autres… Tous à vos gri-gris !!
Savez-vous que les personnes ayant un porte-bonheur sur eux auraient plus de chance (au
jeu ou dans la vie) que celles qui n’en ont pas. Et c’est une étude qui le
dit ! Alors que ce soit un trèfle à quatre feuilles, un fer à cheval ou
tout autre gri-gri, si vous l’avez, faites fi des qu’en dira-t-on et garder le
précieusement.
Cette étude publiée dans Psychological
Science atteste de l’efficacité des porte-bonheurs mais
comment cela s’explique-t-il ? Pour réaliser cette étude, la
psychologue allemande Lysann Damisch a
lancé une partie de golf avec d’un côté des joueurs possédant une balle
porte-bonheur, de l’autre côté des joueurs sans balle gri-gri. Les résultats
ont montré que les joueurs ayant une balle porte-bonheur ont bien mieux
appréhendé le coup délicat mis en place pour le test.
Simple chance ou explication scientifique ?
D’après cette étude, les gens qui détiennent un
porte-bonheur sont plus confiants et le porte-bonheur leur
apporte une force d’auto-persuasion que les cartésiens n’auraient pas. En
quelques sortes, en croyant à leur chance, ils forcent un peu le destin et
parviendraient à décrocher un job plus vite que quelqu’un sans
porte-bonheur !
Sortez donc vos pattes de lapin, trèfles à quatre
feuilles ou tout autre objet qui vous est cher, gardez-le sur vous quoiqu’il
arrive et peut-être aurez-vous aujourd’hui la chance tant attendue ! A mi-chemin entre la science et la superstition,
ces jours sont en tout cas des jours particuliers, que l’on y croit ou
pas !
Il s'agit d'un envoie massif de bonheur pour la nouvelle année, à travers les petits cœurs à l'envers sur la carte. J'espère qu'il vous sera utile pour la nouvelle année, alors faites en bon usage.
Le saviez-vous : Le bocal à bonheur
Le terme bocal à
bonheur vient de l'anglais "Happiness jar", le concept est né d'une
idée d’Elizabeth Gilbert, l’auteur du célèbre best-seller « Mange, prie, aime
». C’est tout simplement un contenant : bocal en verre, boite en métal, en
carton, en bois... grand, petit, rond, carré... peu importe le tout est qu'il
vous plaise car il sera là pour vous accompagner un bon moment !!
A l’intérieur de notre
bocal/boite à bonheur on note le plus souvent possible nos petits et grands
bonheurs du quotidien mais on y place aussi nos souvenirs que l'on a envie de
garder précieusement : des photos, des places de concerts, de cinéma,
d’expositions, des petits mots doux, des dessins, un faire part de mariage, de
naissance…
On peut commencer un
bocal à bonheur à n’importe quel moment et lorsque l’on a un petit coup de
blues on farfouille dans son bocal à bonheur pour se prendre une bonne dose de
pensées positives.
Les moyens simples de stimuler notre humeur et d’être plus
reconnaissants pour ce que nous avons, au lieu de nous concentrer sur ce que
nous n’avons pas, sont toujours les bienvenus – et selon les chercheurs,
démarrer un "pot de bonheur" pourrait être un excellent moyen
d’améliorer notre bien-être.
En termes simples, un pot de bonheur est un pot en verre
dans lequel vous mettez une note quotidienne de gratitude. Sur un morceau de
papier, écrivez une bonne chose qui s’est produite ou une chose que vous êtes
reconnaissant pour ce jour-là, pliez-le et glissez-la dans le bocal. Continuez
tout au long de l’année, et quand 2022 arrivera, vous aurez beaucoup de
merveilleux souvenirs à méditer.
Depuis, de nombreuses personnes dans le monde l’ont utilisé
comme un simple rappel des joies de la vie quotidienne, qu’il s’agisse d’un bon
repas, d’un beau temps, d’un train à l’heure ou d’une bonne nuit de sommeil.
Il s'agit d'une invitation à trinquer (avec modération, bien entendu) pour la nouvelle année !
Et vous, vous trinquez à la nouvelle année ?
le saviez-vous : La façon de trinquer dans le monde
ROYAUME-UNI
Les
Britanniques se souhaitent "Happy new year", forment un cercle, se
donnent la main en croisant les bras et chantent Auld Lang Syne, explique
Brogan Driscoll, responsable de la rubrique Lifestyle du HuffPost anglais. Ils
trinquent en disant: "Cheers !" (“A la vôtre!”)
CANADA et ÉTATS-UNIS
Les
traditions sont assez similaires dans ces deux pays. La responsable Lifestyle
canadienne, Rebecca Zamon, indique: "La plupart du temps, on compte à
rebours et on crie 'Bonne année!' Et puis on embrasse la personne qui est le
plus près de nous. Si elle est d’accord, bien sûr!"
GRÈCE
En Grèce, on
se dit "Χρόνια Πολλά" ("Bonne année"), qui se prononce à
peu près "Ηronia Pola", on s’embrasse sur les deux joues et on serre
tout le monde dans ses bras.La responsable grecque de la rubrique Lifestyle,
Despina Trivoli, ajoute qu’il est de coutume, sur les coups de minuit, de jeter
une grenade (le fruit!), symbole de bonheur et de prospérité, sur la porte
d’entrée de la maison. Plus il y a de pépins éparpillés, meilleure sera
l’année. Elle ajoute qu’on trinque en disant "Yama mas" (γεια μας),
l’équivalent de notre "Santé!", sans se regarder dans les yeux ni
reposer le verre sur la table.
ITALIE
Les Italiens
disent "Buon anno!" et "Cin cin". Adele Sarno, responsable
des réseaux sociaux du HuffPost italien, explique que, dans le sud du pays, les
gens jettent parfois de la vaisselle et d’autres vieilleries par la fenêtre
pour marquer la fin de l’année en cours.
Et un petit dernier pour la
connaissance
JAPON
Les Japonais
disent: "Akemashite omedetou gozaimasu!" ("Bonne année!") à
minuit. Pour trinquer, ils s’exclament: "Kanpai!" ("A la
vôtre!").
Il s'agit d'une carte et d'une étiquette cadeau réalisées sous forme de puzzle.
Pour ce faire, j'ai tamponné la carte, puis je l'ai coloriée, ensuite je l'ai découpée avec la forme appropriée.
Elles sont mignonnes, vous trouvez pas ?
Un petit le saviez-vous : La hotte du père Noël
D’où vient la hotte du Père Noël ?
Le Père Noël est l’équivalent français du Santa Claus
américain dont le nom est une déformation du Sinterklaas (Saint Nicolas)
néerlandais. Ce personnage est inspiré du dieu celte Gargan, qui descendait sur
terre pour distribuer des cadeaux
aux enfants scandinaves, du dieu viking Odin et de Julenisse, un
lutin nordique chargé de distribuer des cadeaux à la fête du milieu de l’hiver.
Le Père Noël que l’on connait aujourd’hui a conservé
les vêtements en fourrure rouge, le bonnet et la barbe blanche de Julenisse et
il a gardé les bottes et la hotte de Gargan.
La hotte est parfois représentée en osier, mais plus
généralement, elle ressemble à un baluchon en toile de jute marron.
Il s'agit d'une mise en scène d'éléments naturels que l'on retrouve à Noël sous différentes forme : la pomme de pin
Et voilà !
Pour réaliser la pomme de pin, j'ai coupé 2 épaisseurs dans 2 marrons différents, ça rend bien, vous trouvez pas ?
Un petit le saviez-vous : N'ayant rien trouvé sur la pomme de pin, je vous propose un autre élément naturel prisé à Noël : Le Houx
Les symboles du
houx de Noël
Le houx de Noël porte une grande valeur symbolique, surtout pour
les chrétiens. Ses feuilles sont : persistantes : symbole d’éternité (ou d’immortalité), de promesse
du printemps prochain. dentées et épineuses : symbole de la couronne que Jésus porta lors
de la Passion. ses baies sont rouge vif : symbole de lumière et du sang versé par
Jésus à la croix.
Le houx : Protection et bienveillance
Chez les romains, le houx était porté en couronne par les jeunes mariés en
guise de bon présage et de félicitations. Au mois de Décembre, au moment de la
célébration du Solstice d’Hiver, il était de bon ton d’envoyer des présents
garnis de houx à ses proches en signe de bienveillance. D’ailleurs, les
croyances romaines et grecques fonctionnant en miroir, chez ces derniers, le
houx était signe de prévoyance.
Mais c’est dans la tradition celtique que le houx a eu le plus d’impact et
façonné le symbole que nous connaissons aujourd’hui. Ses feuilles épineuses
faisaient du houx le protecteur par excellence. Cette plante, qui symbolise la
persistance de la nature durant le froid glacial, était un signe de bienvenue
pour les bons esprits de la forêt ou les voyageurs perdus dans le froid. Mais
ses vertus ne s’arrêtent pas là ! Le houx protégeait des mauvais esprits,
des sorcières, et des foudres divines. Il ornait souvent les bâtons des
druides, et était offert aux hommes et aux femmes des villages afin de leur porter
bonheur.
La symbolique du houx est tellement forte que de l’autre côté de
l’Atlantique, les amérindiens eux aussi le voyaient comme un symbole de bonne
chance et le brodaient sur leurs vêtements, mais l’utilisaient aussi comme
monnaie d’échange avec les peuplades qui n’avaient pas cette plante.
D’ailleurs, en anglais, le houx se dit holly, qui sonne
comme holy, qui signifie sacré.
Il s'agit de 3 cartes sur le même modèle, avec des lettres de scrabble ou équivalent. Par contre, je trouve que le fond est trop lourd, il va falloir que je revoie ça.
Et vous, vous les trouvez comment
Le petit le saviez vous : La lettre au père Noël
Le Secrétariat
du Père Noël est créé par le Ministre des PTT, Jacques Marette en 1962 dans
le service des « rebuts » de l'hôtel des Postes à Paris. Ce
service est né après que deux receveuses (Odette Ménager dans un
bureau de poste du Maine-et-Loire et Magdeleine Homo, postière à Veules-Les-Roses en
Seine-Maritime) eurent fait connaître dans les années 1950 leur frustration de
ne pouvoir acheminer le courrier destiné au Père Noël jusqu’à ce dernier et
eurent pris l'initiative d'ouvrir le courrier, Magdeleine Homo répondant
personnellement, seule et en cachette, durant 12 ans, aux
centaines de lettres des enfants de son village. Magdeleine Homo peut ainsi
être considérée comme la première « secrétaire du père Noël » avant
la pédiatre et psychanalyste Françoise Dolto.
Depuis 1962, en
décembre, la Poste française répond ainsi aux lettres adressées
au Père Noël (quelle que soit l'adresse inscrite). Ce courrier est
ouvert par le service client courrier de La Poste à Libourne, la seule en
France à être habilitée à effectuer cette opération, ceci, afin de retrouver
l'adresse de l'expéditeur et lui envoyer gratuitement une carte-réponse.
La première carte-réponse était illustrée par René Chag et comportait un texte
écrit par Françoise Dolto, psychanalyste et sœur du ministre des PTT de
l'époque Jacques Marette.
Il s'agit de cartes assez rapide à faire, car il suffit de glisser la feuille dans le classeur à gaufrer puis de tourner et le tour est joué, un peu de couleur et c'est prêt.
J'aime bien le petit côté ancien que ça procure, pas vous ?
Un petit le saviez-vous : Les Villages
L'histoire des
maisonnettes que l'on retrouve au pied des sapins de Noël reste
difficile à cerner. Certains croient cependant que leur apparition s'est faite
au même moment que l'arrivée des premiers santons, vers la fin du XVIIIe
siècle.
On sait par ailleurs que les Moraves, d'origine
germanique, qui émigrèrent aux États-Unis et fondèrent la ville de Bethléem (en
Pennsylvanie) en 1741, conservèrent leur coutume de décorer la crèche de Noël.
Appelée putz (de l'allemand putzen : décorer), cette
tradition consiste à ajouter plusieurs éléments de décor à la crèche :
des douzaines et parfois des centaines de personnages, des maisons, des
cascades d'eau, des ponts, des palissades, des fontaines et même des jardins,
créant ainsi des paysages imaginaires.
Au Canada, dès le début du XXe siècle, on retrouvait sur le marché de petits
bâtiments produits en série. Vers 1920, l'Allemagne en exportait déjà de
grandes quantités en Amérique et, à partir de 1930, le Japon faisait de même.
Élément complémentaire et indispensable, les
tapis couvrant le pied du sapin apparurent sur le marché vers 1913. Conçus au
départ pour protéger les planchers de la cire coulant des chandelles, les
premiers tapis manufacturés arboraient un Père Noël conduisant un
traîneau tiré par huit rennes. Dans un pays nordique comme le Canada, la ouate
s'avérait très utile pour simuler les grandes étendues de neige. Vers 1930, les
papiers crêpés à motifs de pierres ou de briques vinrent remplacer ces tapis
artisanaux.
Pour plus d'informations : http://www.virtualmuseum.ca/sgc-cms/expositions-exhibitions/noel-christmas/expositions-exhibits/village-fra.html
A demain pour une nouvelle surprise
Valérie
Et voici les petits 🎁 a télécharger si le cœur vous en dit
Il s'agit encore d'une scène extérieur aux étoiles, avec des chanteurs autour du sapin décoré.
Ah, les chansons de Noël, pour vous c'est plutôt français ou anglais, plaisirs ou torture ?
Un petit le saviez-vous : Chant de Noël
D'après
la tradition catholique, les premiers chants de Noël furent chantés
par les anges au-dessus de la crèche pour fêter la naissance de
l’enfant Jésus. Historiquement, les premiers chants de Noël étaient
des chants joyeux évoquant la Nativité, parfois même des chants rythmés ou
des danses. Dès le Moyen Âge on joue des « mystères de la
Nativité », forme de théâtre populaire où sont mises en scène les
chapitres du Nouveau Testament relatifs à la naissance de Jésus. Ces saynètes
sont accompagnées de chants spécifiques, les chants de Noël. Elles évolueront
vers une forme appelée « pastorale », qui se concentre sur l'annonce
faite aux bergers. Très en vogue à la Cour du roi de France au xviiie siècle,
les pastorales sont encore populaires dans certaines régions, notamment
en Provence. Dans de nombreuses paroisses catholiques, le soir de Noël ou
quelques jours avant, les enfants jouent des passages de la Nativité,
accompagnés par des chants de Noël. Cette tradition est appelée Carol
Service dans les pays de langue anglaise. C'est par ces traditions que
sont parvenus les nombreux chants mettant en scène l'annonce faite par les
anges aux bergers.
Le plus ancien chant de Noël français
ayant subsisté jusqu’à aujourd'hui est le cantique Entre le bœuf et l’âne gris ; il
remonte au début du xvie siècle.
Dans les pays anglo-saxons, on
chante des Christmas carols, en Wallonie des heyes, en
Espagne des villancicos, en Russie des koliadki aux
portes des maisons, en Roumanie des colinde, en Pologne des kolęda,
en Bulgarie des koleda, en Italie des canti Natalizi ou
des pastorali, en Allemagne des Weihnachtslieder,
aux Pays-Bas méridionaux du xviie siècle des cantiones
natalitiæ.
En Angleterre, il est de
tradition que des groupes de chanteurs aillent de maison en maison chanter des
noëls, où ils sont récompensés par un peu d'argent, quelques cakes ou
une boisson appropriée. L’argent collecté est normalement reversé à une œuvre
de bienfaisance.
Dans les pays où elle est
implantée, l’Armée du salut organise des collectes publiques sur les
trottoirs à Noël, au son d'ensembles de cuivres (brass bands)
jouant des noëls.
Dans les Antilles, en période de
Noël, les familles et les amis se réunissent pour un chanté Nwel,
réunion où l'on interprète des chants de Noël très rythmés. Ces chants ont pour
l'essentiel été importés par les missionnaires d'Europe mais les rythmes, et
parfois les paroles, ont été adaptés au goût local.